La santé est le trésor le plus précieux que je possède, et le perdre se fait en une fraction de seconde. J’ai eu un accident, j’ai glissé et je me suis fracturé 4 côtes, et deux foulures, c’est très douloureux. Mais c’est arriver et je n’ai pas vraiment le choix de l’accepter. Donc j’ai perdu d’un seul coup quelque chose que je possédais et que j’ignorais, ma santé mon autonomie, mais c’est temporaire, dans quelques jours se sera un souvenir a oublié, mais ce que je dois en tirer comme leçon c’est de ne pas oublier que ma santé ne m’est pas donnée, elle m’est prêtée. Les petits gestes les plus simples qui meublent ma vie du matin au soir deviennent du jour au lendemain des défis, des obstacles certains même infranchissables. Je vais vivre cette situation pour plusieurs jours, la leçon cachée derrière cet incident est très simple, elle me saute aux yeux, je tiens beaucoup trop de choses pour acquis, rien ne m’appartient, ma vie, et ma santé sont des cadeaux, ils sont a ma disposition, mais me sont seulement prêté. Vouloir écarter de ma route toute souffrance est impossible, c’est une part essentielle et incontournable de la vie humaine. Mais pour prendre conscience de ma santé provisoi-rement perdue, être malade m’est grandement utile, cela favorise mon esprit à être reconnaissant et redevable. Ce que j’ai n’a que peu d’intérêts, je m’intéresse à ce que je n’ai pas et a ce que j’ai perdu. La santé peut | paraître un peu banale à la longue, je ne me lève jamais le matin en me disant que je suis en santé, plutôt je m’attarde sur les petits inconforts de la vie quotidienne. Être en santé c’est un don qui m’est donné, en prendre conscience et en rendre grâce est la moindre des choses, pas besoin de faire un AVC pour réaliser que je consomme ma santé comme tout autre bien de consommation en la gaspillant bien souvent. Rien n’arrive pour rien. J’accepte de vivre, mais je veux que ma vie ait un sens. J’accepte de souffrir, mais que ce ne soit pas pour rien. Je ne regarde plus en arrière, j’utilise mes forces, je me mets en marche, ma guérison m’attend au prochain tournant, j’en suis conscient, je ne regarde pas en arrière, mais j’en profite pour en tirer des leçons, les leçons apprises dans la maladie sont plus puissantes, plus inspirante, elles sont les architectes de mon rétablissement. Je ne fais pas toujours attention à ma santé, aujourd’hui ma santé me rappelle à l’ordre, elle me parle, il ne me reste qu’à l’entendre et surtout à bien percevoir son message. Mon corps ne peut pas me mentir, il prend les moyens pour se faire comprendre, et je ne suis pas sourd. À bon entendeur salut et santé. |
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ll faut apprendre à découvrir le pouvoir exaltant de la pensée qui fait vivre immédiatement ce que l'on souhaite.
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Octobre 2021
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Ma vie c’est mes pensées, si je veux quelles grandissent je dois les nourrir a la source infini de l’univers des pensées de tous, m’en inspirer pour me faire vivre ici et maintenant ce a quoi j’aspire.
Notre vie est toujours constituée à l'image de nos pensées; voilà une des principales vérités de la vie.
La pensée est un oiseau de l'espace, qui dans une cage de mots peut ouvrir ses ailes mais ne peut voler.
Le travail de la pensée ressemble au forage d'un puits ; l'eau est trouble d'abord, puis elle se clarifie.
Je gouvernerai ma vie et mes pensées comme si le monde entier devait être le témoin de l'une et pouvait lire dans les autres.
Nourris ton esprit de grandes pensées. Croire aux héros, voilà ce qui fait le héros.
Une pensée souvent répétée crée un état d'âme qui devient vite un penchant.
Nous sommes les créatures de nos pensées et non du monde qui nous entoure.
Une pensée qui ne mène pas à l'action n'est pas de la pensée, c'est du rêve.
L'esprit le plus pénétrant a besoin du secours du temps pour s'assurer, par ses secondes pensées, de la justice des premières.
Mais, si dépourvues de matière qu'elles paraissent, les pensées aussi ont besoin d'un point d'appui, faute de quoi elles se mettent à tourner sur elles-mêmes dans une ronde folle.
La simplicité est en définitive très difficile à atteindre. Elle repose sur l'attention, la pensée, le savoir et la patience.
Nous passons tous un grand moment de notre vie sous l'eau, comme un iceberg. La plupart de nos pensées et de nos désirs ne sont pas exprimés. Nous vivons tous en permanence dans les conditions du secret.
La distance qui relie la terre au ciel est celle de la pensée.
Dans la société de l'information, personne ne pense. Nous pensions bannir le papier mais nous avons en fait banni la pensée.
Il est également absurde de vivre en perdant de vue le paramètre absolue de la mort que de laisser la pensée de la mort prochaine gâcher mon existence.
Plus le champ de la pensée s'élargit, plus la patience et la tolérance augmentent.
Si vous faites attention, non à ce que vous pensez mais à la forme de votre pensée, vous vous apercevez que vous faites rarement des phrases complètes. Il y a des morceaux de rêves, un fantasme, un souvenir, des chansons. On a des scies dans la tête.
Ce n'est pas le cerveau qui génère la pensée, mais c'est bien la pensée qui génère le cerveau.
Il n'y a pas de pensée sans corps, mais en même temps, il n'y a pas non plus de corps sans pensée.
Ta pensée est limitée, pourtant tout ce que tu es capable d'imaginer peut exister. Il n'y a rien qui soit impossible.
Nous sommes ce que nous pensons. Tout ce que nous sommes résulte de nos pensées. Avec nos pensées, nous bâtissons notre monde.
Tout ce que vous faites maintenant est acte de rêve, pensée de rêve.
On ne peut pas pleurer et penser, car chaque pensée absorbe une larme.
Les mots ne doivent être que le vêtement, sur mesure rigoureuse, de la pensée.
Les mots sont comme une voûte sur la pensée souterraine.
Ecrire des pensées, c'est relever chaque jour, comme un épicier d'ordre, les petites recettes de son esprit.
Le jour où l'on comprendra qu'une pensée sans langage existe chez les animaux, nous mourrons de honte de les avoir enfermés dans des zoos et de les avoir humiliés par nos rires.
L'imprimerie est à l'écriture ce que l'écriture avait été aux hiéroglyphes : elle a fait faire un second pas à la pensée.
Là où sont tes pensées, tu es. Veille à ce que tes pensées soient bien là où tu veux être.
C'est la puissance de la vie et l'action qui peuvent seules résoudre, sinon entièrement du moins en partie, les problèmes que se pose la pensée abstraite.
Il y a des erreurs mêlées à toute vérité ; il n'y a encore rien dans la pensée de l'homme d'assez parfait pour être définitif.
Le silence est une tranquillité mais jamais un vide ; il est clarté mais jamais absence de couleur ; il est rythme ; il est le fondement de toute pensée.
Si le christianisme avait été une nouvelle école de pensée, cette école serait fermée depuis longtemps.
Rien ne tue plus sûrement la pensée, la créativité, le rêve, la lucidité ou le délire que le travail intensif, l'efficience, l'amour frénétique du gain, la course au profit et aux boulots profitables.
Le progrès social est devenu une farce : les hommes travaillent moins, se reposent davantage... mais ils sont sévèrement embrigadés dans la pensée unique.
Il faut songer quelquefois à la mort, cette seule pensée peut nous apprendre à bien vivre.
La rêverie est le clair de lune de la pensée.
Il ne faut pas le bruit d'un canon pour empêcher ses pensées. Il ne faut que le bruit d'une girouette ou d'une poulie.
Seules les pensées lumineuses et les sentiments d'amour désintéressé peuvent créer la beauté.
Un amour commence à exister quand chacun offre à l'autre le fond de ses pensées, les secrets les plus verrouillés. Sinon, ce n'est pas de l'amour, c'est de l'échange de peaux, de désir immédiat.
L'imagination est la faculté qui donne du relief, de l'éclat, du mordant à la pensée : par elle, l'expression se concentre, se colore, et se trempe ; en individualisant ce qu'elle touche, elle le vivifie et le consacre.
Rien au monde ne peut empêcher l'homme de se sentir né pour la liberté. Jamais, quoi qu'il advienne, il ne peut accepter la servitude; car il pense.
Faire de ses rêveries des pensées.
À mesure qu'on s'avance dans la vie, on s'aperçoit que le courage le plus rare est celui de penser.
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