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L'acceptation
Fuir devant la souffrance est un réflex humain, mais la fuite ne change en rien la réalité, elle nous emprisonne. L’acceptation est la clé de la libération de notre cellule.

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Accepter
ne veut pas
dire reconnaître.

Rabindranàth Tagore


Tout change continuellement.
​Vous devez l'accepter
et agir en conséquence.

Swami Prajñanpada



N'acceptez jamais la défaite,
vous êtes peut-être à un pas de la réussite.

Jack E. Addington

La vraie liberté consiste à réaliser
et accepter le fait qu'il n'existe pas
de réponse parfaite.

Allen Reid McGinnis

Quand on choisit d'aimer quelqu'un,
on accepte d'être inquiet.

Gilles Archambault
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Vous serez serein
lorsque vous saurez accepter
que votre vie ne se déroule pas
comme nous l'avez prévu.


Le véritable courage
c'est d'accepter l'inévitable
sans révolte sans s'apitoyer sur soi,
en essayant d'être utile aux autres


La vie est ce qu'elle est.
Lutter contre l'inévitable est futile;
accepter un fait accompli est
une preuve de sagesse et d'intelligence.

L'homme courageux n'est pas celui qui n'a jamais peur, mais celui qui accepte de faire silence en lui.
Henri d'Hellencourt

Il faut accepter de planter
pour que d'autres récoltent ailleurs et plus tard.

Bernard Werber

Naviguer : c'est accepter les contraintes
que l'on a choisies. C'est un privilège.
La plupart des humains subissent
les obligations que la vie leur a imposées.

Eric Tabarly
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L'homme heureux
est celui qui,
acceptant d'être malheureux,
ne l'est plus.

Jules Lemaître

Tout homme
qui n'accepte pas les conditions de la vie,
vend son âme.

Charles Baudelaire

Accepter les risques
inévitables de la vie,
c'est ce qui fait la noblesse
de la condition humaine.

Alexandre Minkowski

Demeure seul,
ou alors, si tu choisis l'amitié,
Accepte l'ami tel qu'il est.

Bachâr Ibn Burd

Le soleil
accepte bien
de passer
par de
petites fenêtres.

Frederik van Eeden


Celui qui accepte
le mal sans lutter
contre lui
coopère avec lui.

Martin Luther King
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L'acceptation d'une existence
qui comporte des épreuves
et des défis est la base
d'une vie saine favorable
au bien-être et à la paix d'esprit


Il faut accepter
les coups de pied de la vache
comme on accepte son lait et son beurre.

Proverbe indien.

Le bonheur de l'homme n'est pas dans la liberté, mais dans l'acceptation d'un devoir.
André Gide

L'amitié, c'est le respect,
l'acceptation totale d'un autre être.

Marguerite Yourcenar

Le devoir
est une série d'acceptations.

Victor Hugo
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Le courage
est le réflexe
de défense
des êtres
normalement équilibrés,
un moyen
de ne pas souffrir.
La révolte ronge,
l'acceptation
mène tôt
ou tard à l'apaisement.

Anne Bernard

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On n’est pas Le courage, le vrai,
ça n'est pas d'attendre avec calme l'événement ; c'est de courir au devant, pour le connaître
le plus tôt possible, et l'accepter.

Roger Martin du Gard

Le monde est iniquité ; si tu l'acceptes, tu es complice, si tu le changes, tu es bourreau.

Jean-Paul Sartre

Le bonheur c'est l'acceptation
de la vie quelle qu'elle soit.

George Sand

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Ce doit
être cela l
a maturité,
sentir ses chaînes
tout à coup
et les accepter
parce que
fermer les yeux
ne les abolit pas.

André Langevin

Si tu veux pouvoir supporter la vie,
sois prêt à accepter la mort !

Sigmund Freud

Chacun de nous a un jour,
plus ou moins triste,
plus ou moins lointain,
où il doit enfin accepter
d'être un homme.

Jean Anouilh
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L'acceptation est la vertu maîtresse de gens qui n'ont guère d'autre ambition que de vivre tant bien que mal en attendant l'heure de la mort.
Augustin Yanez

Notre capacité de nous adapter et notre acceptation de tout ce que cette capacité entraîne est l'une des plus grandes menaces qui pèsent sur nous.
Stanislaw Lem

J'augmentais mon agitation en me prêchant un calme qui était l'acceptation de mon infortune.
Marcel Proust

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Il est très facile de juger, mais bien plus difficile d'accepter chaque moment tel qu'il est, juste comme il est, sans vouloir le changer, le modifier d'une façon ou d'une autre. Nous nous évaluons, nous comparons sans cesse, d'une manière plus ou moins subtile. Il est bien plus bénéfique d'accepter chaque moment, le laisser être, nous permettre d'être nous aussi. En général, nous résistons ou refusons ce qui est. Mais nous ne sommes pas ici pour rendre les choses parfaites.

Lorsque nous commençons à accepter chaque moment juste comme il est, les autres justes comme ils sont, nous-mêmes comme nous sommes, alors chaque instant est parfait. C'est un grand soulagement.

L'acceptation n'est pas la résigna- tion, la passivité, l'abandon, c'est plutôt permettre aux choses d'être sans les rejeter. Le Dhamma nous enseigne justement de ne rien exclure. Mais la réalité est que nous ne pouvons ou ne voulons pas la supporter.

Il ne faut pas vouloir nous accep- ter quand nous changerons ou quand nous évoluerons. Nous devons nous accepter maintenant tels que nous sommes. Il en est de même pour les autres. Nous ne devons pas chercher à les chan- ger, mais les accepter comme ils sont maintenant.

En réalité, le changement n'est possible que quand nous nous acceptons. Nous devons permet- tre et être avec chacune de nos expériences directement. Com- ment pouvons-nous y parvenir ?
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En étant attentif. L’attention n'ajoute rien, ne juge pas, ne compare pas. Grâce à l'attention nous pouvons être conscients de ce qui est en train de se passer, de chaque moment, et nous pouvons observer comment nous y réagissons. Est-ce que nous nous y accrochons ? Est-ce que nous rejetons ? Que ressentons- nous dans notre corps ? Y a-t-il des contractions ou sommes- nous ouverts ?

Nous avons tendance à nous crisper quand nous ressentons des sensations désagréables, par conséquent nous ne leur permet- tons pas d'être complètement. Du fait des contractions, nous créons un blocage et nous ne pouvons voir clairement ce qui se passe. En fait nous essayons d'agir en sorte que les choses soient différentes, au lieu de les laisser être, de les observer avec attention, que ce soient des douleurs, de l'agitation ou de la tristesse. Si au lieu de les bloquer, de lutter contre, nous les acceptons, elles commencent à se calmer car l'énergie utilisée pour lutter et se contracter est libérée.
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Accepter ne signifie justement pas abandonner. Lorsque chaque chose est vue clairement, avec compréhension, il est possible d'agir sagement. Il s'agit d'accepter tous nos états émotionnels et mentaux, ainsi que nos réactions à leur égard. Nous nous apercevrons que notre acceptation leur permettra de les dissiper. Il faut les inclure au lieu de les exclure, parce que les exclure consomme beaucoup d'énergie, et nous avons tendance à utiliser tant d’énergie en allant à l'encontre de ce qui existe, en rejetant, en niant, en nous crispant. C'est épuisant.

Bien souvent, nous ne sommes même pas conscients de le faire. Nous sommes le plus souvent sévères avec nous-mêmes, nous nous jugeons durement. Nous manifestons de l'hostilité envers certaines parties de nous-mêmes. Nous devons être gentils et nous donner de l'amour.

Comment cultiver un esprit qui accepte et ne juge pas alors que c'est une habitude conditionnée très ancrée en nous de comparer, de juger et de rejeter ?
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C'est à nouveau l'attention. Observer simplement ce qui apparaît, le reconnaître sans concept, sans condamner, sans rejeter, sans blâmer. Être attentif. Au fur et à mesure, nous cultiverons l'amour bienveillant et la compassion, et notre faculté d'acceptation grandira et s'approfondira incluant les infimes parties de nous-mêmes que nous rejetons. Ce sera une guérison, un soulagement, la paix. Cela demande du courage et de la confiance de regarder profondément en soi, d'expérimenter et de voir précisément la colère, la peur, l'avidité, la tristesse, au lieu de vouloir s'en débarrasser. C'est un processus de purification.

Il n'est pas possible de n'avoir que des expériences agréables et d'éviter celles qui sont déplaisantes. Il y a des expériences agréables, désagréables et neutres. Nous devons les laisser être, sans vouloir les modifier. C'est notre conditionnement qui nous pousse à ne vouloir accepter que ce qui est plaisant et à rejeter ce qui est déplaisant.

L’acceptation est très subtile. Nous pouvons penser que nous acceptons alors qu'en fait nous nions ou sommes indifférents. Ce n'est pas accepter.

L'acceptation est inconditionnelle, elle dit oui : oui à la colère, oui à la rage, oui à la haine, sans reproche.

Il est très utile de comprendre que ce n'est pas moi qui suis en colère, qui ai de la haine. Ce n'est pas ma colère, ma rage. C'est uniquement l'énergie de la colère, de la haine, de la rage. Ce n'est pas personnel. Nous nous identifions à ces énergies : ma colère, ma haine, ce qui les renforce et nous empêche de les évacuer. C'est très douloureux. Quand nous acceptons réellement ces états mentaux, notre cœur s'ouvre et l'amour devient possible. Quand nous acceptons le chagrin cela libère un espace pour la joie.
L'une des choses les plus difficiles à accepter est le changement. Nous savons que chaque chose change mais nous voulons que les choses soient solides, stables, sécurisantes et qu'elles ne changent pas, bien qu'en réalité elles ne soient pas contrôlables. Les choses changent parce que les causes et les conditions changent.
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Nous n'aimons pas lorsque notre corps change, nous luttons pour ne pas vieillir. Nous souhaitons que le présent dure et personne ne veut mourir. Cependant nous sommes impermanents, et chaque instant est impermanent. Nous devons accepter l'impermanence qui fait partie de notre vie. Nous souffrons parce que nous nous accrochons et que nous voulons contrôler les choses.

Le bouddha a dit que le moyen de ne plus souffrir est de lâcher prise, de cesser de nous accrocher, de nous attacher. L'attachement est un fort conditionnement. À quoi devons nous renoncer ?

À nos idées, à nos concepts, à ce que les choses se déroulent selon nos souhaits, à être parfaits, à nos expériences. Nous ne pouvons pas nous forcer à lâcher prise, comme nous ne pouvons pas nous forcer à nous endormir. Cela prend du temps. C'est un processus.


Nous avons des difficultés à laisser les choses être parce que dans notre culture nous sommes habitués à faire, à modifier, à améliorer. Il nous est difficile de rester immobile, juste être, sans essayer quoique ce soit. Pouvons-nous simplement nous asseoir ? Simplement marcher ? Manger ? Être avec chaque moment ? Autoriser chaque instant à être juste comme il est ? Le voir, le reconnaître, y être pleinement attentif jusqu'à ce que le moment suivant apparaisse ? Permettre à chaque moment de naître et de mourir sans rien faire, seulement lui permettre de se déployer qu'il soit agréable, désagréable ou neutre ?
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Cela n'est pas facile et parfois nous avons l'impression que ce n'est pas possible. Il nous faut du courage et beaucoup de patience. Accepter nous donne un sentiment de joie, de liberté, de sécurité. Nous nous sentons moins séparés des autres et du monde. Nous pouvons agir avec respect et sagesse.

Les choses changent selon leur propre rythme. Si nous abandonnons notre résistance, nous libérerons l'énergie nécessaire pour être pleinement vivants et heureux.

Vipassanasangha
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Tant que vous n’aurez pas accepté qui vous êtes, rien de ce que vous aurez ne vous satisfera jamais.
Doris Mortman

Aimer est exceptionnel. Ne pas aimer est la règle. Accepter cette règle devrait donner un début de bonheur.
Pierre Mérot

La capacité de se remettre d’une blessure n’est pas fonction de sa profondeur, mais dépend de notre capacité à l’accepter.
Anonyme

Accepte-toi toi-même d’abord, accepte tout ce que ton être comporte, ses richesses et ses pauvretés ; accepte d’agir tel que tu es : accepte ton lot.
Gustave Desbuquois

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